Inclus dans une visite de l'ile, beaucoup trop cher, inutile, près d'une vieille base de la marine abandonnée. Ne vaut pas le déplacement.

Construit en 1852, ce phare est le point de repère le plus célèbre de Grand Turk et est le seul phare des îles Turques et Caïques. Au début du 19ème siècle, de nombreux navires ont été détruit sur la côte nord de Grand Turk. Les compagnies d'expédition américaines et bermudiennes, et les gouvernements du Royaume-Uni et des États-Unis ont conclus et insisté pour qu'un phare soit construit pour faciliter la navigation. Ce phare n'est plus opérationnel. À l'origine, sa visibilité était de 15 milles (24 km). La tour se trouve à 60 pieds (18 mètres), un total de 108 pieds (33 mètres) au-dessus du niveau de la mer. Sur le terrain se trouve la petite maison des gardiens de lumière, avec de petites fenêtres pour bloquer la lumière intense de la tour. Une pittoresque route côtière mène au sommet des falaises calcaires marines du littoral. On peut souvent y rencontrer des ânes marocains et caïques mignons et robustes qui errent dans cette région. Les récifs des Turcs et Caïques ont toujours été traîtres, et North Reef à l'extrémité nord de Grand Turk a enregistré un nombre important de périls de navires. Le catalyseur de la construction du phare a été l'épave de la Médina de R.M. en 1842, le premier navire du Royal Mail Service britannique à couler en mer.