J'avais écrit un avis beaucoup plus long sur Gaoler's Mews l'année dernière; cependant, il a été rejeté, apparemment, parce que j'ai trop parlé d'une des histoires de fantômes associées à ce secteur de Gastown. Je n’en parlerai donc pas beaucoup dans cet avis révisé – et beaucoup plus court. Au lieu de cela, je dirai simplement si vous voulez en savoir plus sur la sombre histoire de cette région (et ses histoires de fantômes associées) , alors jetez un coup d’œil à l’excellent « Lost Souls of Gastown » de Forbidden Vancouver. Quoi qu’il en soit, c’est incroyable à quel point le temps passe vite. Il est difficile de croire que près d’un an s’est écoulé depuis ma dernière visite dans le quartier Gastown. Le plus grand changement observable en ce temps ? Une grande partie de la rue Water est devenue une « zone piétonne », c’est-à-dire qu’il n’y a pas de circulation automobile qui passe par Gastown, moins l’étrange bus touristique et les véhicules d’urgence. J'avouerai volontiers qu'il s'agit d'un changement surprenant, mais qui n'est apparemment en vigueur qu'au cours de l'été. Quoi qu’il en soit, en bavardant sur Gastown, j’ai décidé de revisiter le toujours passionnant Gaoler’s Mews. Gaoler’s Mews est l’une de ces attractions où vous devez faire l’une des deux choses suivantes pour vraiment l’apprécier : 1 ) Faites une visite guidée de Gastown; ou, 2 ) Lisez le site avant de le visiter. Ne pas faire l'un de ceux-ci entraînera un commentaire similaire à celui de bl 0 ndie 72 ci-dessous: « Vous ne savez pas trop en quoi Gaolers Mews est une attraction touristique car c’est une petite ruelle [...] Probablement d’importance historique ? » Pour être juste, cependant, le commentaire n’est pas hors ligne. Si vous marchez dans Gastown et tombez sur Gaoler’s Mews, vous n’espionnerez que les panneaux indicateurs. Il n’y a aucune plaque d’information digne de mention – du moins pas celle que j’ai vue – pour fournir ce contexte historique important. C’est juste un panneau et « une petite ruelle ». Ainsi, la confusion que l’on peut avoir sur la façon dont cela peut être une « chose à faire » à Vancouver est compréhensible. Dans mon cas, ce n’est que lorsque j’ai fait un tour à pied avec Forbidden Vancouver (« Lost Souls of Gastown ») que l’importance de Gaoler’s Mews est apparue. C’est en effet l’histoire – dont vous ne pouvez plus voir la plupart – qui rend Gaoler’s Mews remarquable. Au milieu du - 1800 s, cette zone a été le site de la première prison de Vancouver (qui a ensuite été réduite en cendres lors du grand incendie de 1886 ). La cour à l’extrémité de Gaoler’s Mews abritait également un échafaudage de pendu, qui a apparemment vu plus de 40 personnes pendues en public. Comme vous l’aurez deviné, avec un passé si entaché, il n’est pas surprenant que de nombreuses histoires de fantômes aient surgi. Et bien, je ne vais pas mentir. L’histoire est vraiment soignée et brosse un tableau plus sombre de Gastown; cependant, Gaoler’s Mews n’est encore qu’une ruelle. Nous pouvons voir les choses un peu différemment une fois que nous avons appris et compris l'histoire macabre; ou, nous pourrions glousser devant la juxtaposition absurde du passé sombre avec le présent à la mode. Je veux dire, qui ne voudrait pas déguster une « terrine de foie gras de canard » à L’Abattoir ou s’adonner à un repas exclusif au No. 1 Gaoler’s Mews sachant que plus de 40 personnes ont rencontré le noeud coulant du pendu à proximité? Qu'ils mangent leur gâteau, je dis !

Je ne suis pas venu ici depuis un moment, mais je faisais un voyage spécial pour voir les peintures murales (à seulement deux pâtés de maisons), alors j'ai pensé que j'allais y jeter un coup d'œil. Malheureusement (du moins pour nous, passionnés d'histoire), cette petite ruelle a l'air plus funky et plus funky, mais de moins en moins comme elle l'était autrefois lorsque la ville de Vancouver a commencé ici il y a environ six générations. Les touristes intéressés par l'architecture et le réaménagement urbain apprécieront de voir ce qui est nouveau, tandis que ceux qui ont une imagination active peuvent spéculer sur ce qui était autrefois.