Maison De Balzac
Maison De Balzac
3.5
De 10:00 à 18:00
Mardi
10:00 - 18:00
Mercredi
10:00 - 18:00
Jeudi
10:00 - 18:00
Vendredi
10:00 - 18:00
Samedi
10:00 - 18:00
Dimanche
10:00 - 18:00
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Maison De Balzac et attractions proches : les meilleures façons d'en profiter
La région
Adresse
Quartier: 16e Arr. – Passy
Comment s'y rendre
- Ave du Président Kennedy • À 4 min à pied
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3.5
140 avis
Excellent
38
Très bon
49
Moyen
36
Médiocre
7
Horrible
11
gerald e
Barcelone, Espagne1 120 contributions
févr. 2024 • Entre amis
Quel dommage que toutes les citations à propos d’Honoré de Balzac dans les deux premières pièces ne soient pas visibles pour aussi intéressantes qu’elles soient. Le croirez-vous? Certaines ont été partiellement masquées avec des bustes, des vitrines, etc. de sorte qu’il est impossible d’en apprécier tout le sel!!!
L’exposition sur Daumier et la caricature contemporaine est un peu indigente et ressemble beaucoup à un appât pour attirer le chaland. On a de plus en plus l’impression que certaines expositions ayant lieu dans les musées officiellement gratuits de Paris n’existent que pour faire payer le visiteur tant elles semblent improvisées avec des bouts de ficelles. C’est vraiment le cas ici!!!!
Peu de dessins de Daumier et encore moins de tableaux, ne parlons pas des caricatures contemporaines dont l’intérêt à deux exceptions près est dérisoire!
L’exposition est donc chère pour la pitance proposée !!!
Les casiers de l’entrée n’ouvrent pas et le preposé à la vente des tickets est obligé de s’interrompre ( et vous de l’attendre) pour que le casier soit ouvert!!!
L’exposition sur Daumier et la caricature contemporaine est un peu indigente et ressemble beaucoup à un appât pour attirer le chaland. On a de plus en plus l’impression que certaines expositions ayant lieu dans les musées officiellement gratuits de Paris n’existent que pour faire payer le visiteur tant elles semblent improvisées avec des bouts de ficelles. C’est vraiment le cas ici!!!!
Peu de dessins de Daumier et encore moins de tableaux, ne parlons pas des caricatures contemporaines dont l’intérêt à deux exceptions près est dérisoire!
L’exposition est donc chère pour la pitance proposée !!!
Les casiers de l’entrée n’ouvrent pas et le preposé à la vente des tickets est obligé de s’interrompre ( et vous de l’attendre) pour que le casier soit ouvert!!!
Écrit le 7 mars 2024
Cet avis est l'opinion subjective d'un membre de Tripadvisor et non l'avis de Tripadvisor LLC. Les avis sont soumis à des vérifications de la part de Tripadvisor.
Frédérique W
2 contributions
févr. 2024 • En couple
La maison Balzac offre charmes et richesses autour de l'écrivain. Dommage que l'accueil soit détestable : à la billetterie un personnel hautain, très peu motivé et presque méprisant à l'égard du visiteur qui n'obtient pas les réponses à ses questions. Et ce n'est pas une caricature !!
Écrit le 20 février 2024
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ParisRimouski
Fontenay-sous-Bois, France107 contributions
févr. 2024 • En couple
Assez déçus de ce musée, entrée payante à 9 euros car exposition temporaire dans 3 petits salles .
Juste un grand fauteuil où Balzac travaillait, très pauvre en mobilier.
Juste un grand fauteuil où Balzac travaillait, très pauvre en mobilier.
Écrit le 3 février 2024
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Gérard G
85 contributions
août 2023 • En couple
MÉCONNUE, LA MAISON DE BALZAC À PASSY VAUT VRAIMENT LA VISITE.
C’est fou comme avec peu d’objets et dans un lieu modeste dans ses dimensions et son prestige, on peut faire beaucoup ! C’est le pari réussi et remarquablement réussi par la ville de Paris qui, en outre, ouvre les portes de ce musée gratuitement au public. Le tout, admirablement accueilli par le personnel du musée.
Le site est étrange car Passy n’est plus le village que connut Balzac, tout envahi qu’il est aujourd’hui de barres d’immeubles. Vous vous dites en passant la porte de la maison de l’écrivain des Illusions perdues que vous allez être forcément déçu. Comment restituer une ambiance et le souvenir d’un homme de la première moitié du XIXe siècle, dans un environnement totalement différent, dans cette enclave d’une maison avec son jardin, enserrés dans la modernité ?
Peut-être faut-il connaître un peu l’époque et la littérature de nos grands écrivains du XIXe siècle, comme Hugo, Gautier, Sand, Stendhal. Parce qu’étonnamment, le miracle se produit. Pas tout de suite après avoir passé la porte où de grands panneaux remarquablement élaborés, vous accueillent, présentant l’écrivain et sa maison. Mais, doucement, passant de pièce en pièce, vous êtes pris par la présence de cet extraordinaire et terrible observateur de son époque, de ses contemporains, de leurs travers, de leurs petitesses comme de leurs grandeurs. Les panneaux qui se succèdent sont parfaits. Ils alternent l’évocation de la vie quotidienne (comme l’émouvante cafetière qui l’accompagnait tout au long de la journée tandis qu’il travaillait de 12 à 15 heures par jour), de ses amis intellectuels, de ses corrections de textes dont certaines reprenaient presque le texte en entier. Il avait en effet choisi cet appartement pour corriger les dernières épreuves de sa Comédie humaine de 1840 à 1847.
"A compter du moment où vous recevrez cette lettre, écrivez-moi à l'adresse suivante : M. de Breugnol, rue Basse, n°19 à Passy, près Paris. Je suis là, caché pour quelque temps (...) il m'a fallu déménager très lestement et me fourrer là où je suis." Ces noms d’emprunt étaient devenus nécessaires pour échapper à ses créanciers, comme une petite porte qui lui permettait de s’enfuir éventuellement par une autre rue. Pour une précédente maison, à Chaillot, occupée de 1835 à 1838, il avait utilisé un pseudonyme féminin "Veuve Durand", il est désormais "Monsieur de Breugnol".
Le moment culminant de la visite est sans aucun doute le cabinet de travail qu’il habitait des heures et des jours durant. Une toute petite pièce donnant sur le jardin. Point de livres, mais un petit, un tout petit bureau en noyer sur lequel il travaillait. Les dépôts de surplus d’encre que retenait sa plume sont encore visibles (voir photo). Le fauteuil est là, avec son style néo-Louis XIII en vogue à l’époque et pourtant si peu confortable. Et puis, il y a ses fragments de lettres qui émaillent les murs et que les commissaires du musée ont choisi avec talent et précision. Ils redonnent vie à l’homme torturé, plein d’humour et transi d’amour pour cette belle Polonaise, Ève Rzewuski (Mme Hanska) qu’il rencontre brièvement pour la première fois à Neufchâtel (Genève) et qu’il épouse en 1850 avant de mourir cinq mois après. La correspondance qu’ils échangent est une mine infinie de renseignements et de chroniques sur la vie littéraire et mondaine de l’époque.
On ressort de cet endroit ému, transporté dans cet autre monde d’une autre époque, jurant que l’on va reprendre la lecture de son œuvre si dense, si riche, si éternelle par ce qu’elle dit du genre humain. Dans le jardin, l’effet magique a atteint d’autres visiteurs. Certains sont un livre à la main, dans un coin du jardin, d’autres, assis sur un banc, chaussures retirées et la tête en arrière, regardant le ciel, d’autres encore marchant lentement dans ces quelques mètres carrés de massifs floraux, tentant par la lenteur du pas de s’approprier le lieu. C’est sans aucun doute cela le miracle de l’écriture par des génies. Il vous emporte et vous mène ailleurs ; loin des barres d’immeubles environnantes qui ont alors complètement disparu.
Vous souhaitez disposer d'avis et de commentaires sur une exposition, un film, un musée ou un site, culturels, liés à l'histoire ?
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FB : Gérard Geist
C’est fou comme avec peu d’objets et dans un lieu modeste dans ses dimensions et son prestige, on peut faire beaucoup ! C’est le pari réussi et remarquablement réussi par la ville de Paris qui, en outre, ouvre les portes de ce musée gratuitement au public. Le tout, admirablement accueilli par le personnel du musée.
Le site est étrange car Passy n’est plus le village que connut Balzac, tout envahi qu’il est aujourd’hui de barres d’immeubles. Vous vous dites en passant la porte de la maison de l’écrivain des Illusions perdues que vous allez être forcément déçu. Comment restituer une ambiance et le souvenir d’un homme de la première moitié du XIXe siècle, dans un environnement totalement différent, dans cette enclave d’une maison avec son jardin, enserrés dans la modernité ?
Peut-être faut-il connaître un peu l’époque et la littérature de nos grands écrivains du XIXe siècle, comme Hugo, Gautier, Sand, Stendhal. Parce qu’étonnamment, le miracle se produit. Pas tout de suite après avoir passé la porte où de grands panneaux remarquablement élaborés, vous accueillent, présentant l’écrivain et sa maison. Mais, doucement, passant de pièce en pièce, vous êtes pris par la présence de cet extraordinaire et terrible observateur de son époque, de ses contemporains, de leurs travers, de leurs petitesses comme de leurs grandeurs. Les panneaux qui se succèdent sont parfaits. Ils alternent l’évocation de la vie quotidienne (comme l’émouvante cafetière qui l’accompagnait tout au long de la journée tandis qu’il travaillait de 12 à 15 heures par jour), de ses amis intellectuels, de ses corrections de textes dont certaines reprenaient presque le texte en entier. Il avait en effet choisi cet appartement pour corriger les dernières épreuves de sa Comédie humaine de 1840 à 1847.
"A compter du moment où vous recevrez cette lettre, écrivez-moi à l'adresse suivante : M. de Breugnol, rue Basse, n°19 à Passy, près Paris. Je suis là, caché pour quelque temps (...) il m'a fallu déménager très lestement et me fourrer là où je suis." Ces noms d’emprunt étaient devenus nécessaires pour échapper à ses créanciers, comme une petite porte qui lui permettait de s’enfuir éventuellement par une autre rue. Pour une précédente maison, à Chaillot, occupée de 1835 à 1838, il avait utilisé un pseudonyme féminin "Veuve Durand", il est désormais "Monsieur de Breugnol".
Le moment culminant de la visite est sans aucun doute le cabinet de travail qu’il habitait des heures et des jours durant. Une toute petite pièce donnant sur le jardin. Point de livres, mais un petit, un tout petit bureau en noyer sur lequel il travaillait. Les dépôts de surplus d’encre que retenait sa plume sont encore visibles (voir photo). Le fauteuil est là, avec son style néo-Louis XIII en vogue à l’époque et pourtant si peu confortable. Et puis, il y a ses fragments de lettres qui émaillent les murs et que les commissaires du musée ont choisi avec talent et précision. Ils redonnent vie à l’homme torturé, plein d’humour et transi d’amour pour cette belle Polonaise, Ève Rzewuski (Mme Hanska) qu’il rencontre brièvement pour la première fois à Neufchâtel (Genève) et qu’il épouse en 1850 avant de mourir cinq mois après. La correspondance qu’ils échangent est une mine infinie de renseignements et de chroniques sur la vie littéraire et mondaine de l’époque.
On ressort de cet endroit ému, transporté dans cet autre monde d’une autre époque, jurant que l’on va reprendre la lecture de son œuvre si dense, si riche, si éternelle par ce qu’elle dit du genre humain. Dans le jardin, l’effet magique a atteint d’autres visiteurs. Certains sont un livre à la main, dans un coin du jardin, d’autres, assis sur un banc, chaussures retirées et la tête en arrière, regardant le ciel, d’autres encore marchant lentement dans ces quelques mètres carrés de massifs floraux, tentant par la lenteur du pas de s’approprier le lieu. C’est sans aucun doute cela le miracle de l’écriture par des génies. Il vous emporte et vous mène ailleurs ; loin des barres d’immeubles environnantes qui ont alors complètement disparu.
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FB : Gérard Geist
Écrit le 29 août 2023
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Yazou
4 contributions
juin 2023 • Voyage d'affaires
Je sors ravie de la visite de ce lieu magique, imprégné de l’œuvre de Balzac et des artistes qui l’ont aimé et s’en sont inspiré. Ce fut l’occasion de voir les les œuvres concourant au prix Balzac, 2023. Une merveille de diversité.
À voir absolument.
Le directeur de cette maison, un passionné poursuivant l’objectif de promouvoir l’auteur et son œuvre dite contemporaine à raison m’a donné l’illusion tellement il arborait la permanence de l’auteur qu’au détours d’une rue, je croiserais peut être mon auteur fétiche, fuyant quelques créanciers par une ruelle étroite…Merci
À voir absolument.
Le directeur de cette maison, un passionné poursuivant l’objectif de promouvoir l’auteur et son œuvre dite contemporaine à raison m’a donné l’illusion tellement il arborait la permanence de l’auteur qu’au détours d’une rue, je croiserais peut être mon auteur fétiche, fuyant quelques créanciers par une ruelle étroite…Merci
Écrit le 2 juin 2023
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Amelie S
Jonzac, France962 contributions
févr. 2023 • En solo
Maison entourée d'immeuble bien plus agréable sûrement à l'époque. C'est gratuit ça mérite un petit détour. On a passé un moment agréable bien que ne connaissant rien sur sa vie.
Écrit le 4 février 2023
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JP H
Bains-sur-Oust, France674 contributions
août 2022
Déception pour cette maison.
7€ pour ne rien voir de passionnant.
Seul le jardin mérite un arrêt, la bière est bonne.
Bien peu pour un fan de Balzac
7€ pour ne rien voir de passionnant.
Seul le jardin mérite un arrêt, la bière est bonne.
Bien peu pour un fan de Balzac
Écrit le 3 août 2022
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andré p
Paris, France10 contributions
janv. 2022
Bel espace d’accueil et surtout un jardin très agréable avec vue pour prendre un verre mais quelle déception a l’interieur Aucune mise en perspective aucune explication sur la vie et l’oeuvre de Balzac les panneaux indiquent des écouteurs pour un audio guide ou application mais rien n’est prévu et le service d’accueil au demeurant peu agréable au courant de rien
Bref visite sans explication très décevante à réserver aux grands connaisseurs de l’ecrivain
Bref visite sans explication très décevante à réserver aux grands connaisseurs de l’ecrivain
Écrit le 19 janvier 2022
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PierreBriere
Saint-Joachim, France9 681 contributions
août 2020
Entrée = 8 €. Né à Tours le 20 mai 1799, Balzac vit dans cette maison du quartier de Passy entre 1840 et 1847 (il décède le 18 août 1850). C'est la dernière des demeures parisiennes qui subsistent aujourd'hui. Le quartier est calme et la maison dispose d'un jardin agréable bénéficiant d'une magnifique vue sur la Tour Eiffel. Dans la salle bleue (sa chambre autrefois) sont exposées des citations le concernant [dont une de Gustave Flaubert : "Honoré de Balzac ne sait pas écrire" (sic)]. Dans la salle Bleue (salon) se trouvent des copies de ses manuscrits. Balzac avait une bibliothèque de 5 000 livres (dont 29 de Jean-Jacques Rousseau). Outre les différents statues, ne pas manquer de voir les personnages de La Comédie Humaine (environ 2 500) dessinés par Charles HUARD et gravés sur bois par Pierre GUSMAN pour l'édition parue entre 1914 et 1940. Possibilité de restauration rapide dans le jardin qui dispose de bancs et de tables ["Rose Bakery" : quiche (6,50 €), tarte sucrée (5,50 €), café Expresso (3 €)].
Écrit le 20 novembre 2020
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Gout_du_voyage
Lyon, France12 contributions
sept. 2020 • Entre amis
On découvre ici un ancien hôtel et la partie qui était réservée à Balzac. On en apprend sur lui, sa vie et ses inspirations, et on se promène entre son bureau, sa bibliothèque et d’autres objects d’origine lui ayant appartenu. Maison charmante entourée de végétation, un lieu agréable avec vue sur la tour eiffel ! Aussi, un petit café pour profiter de la vue et du joli cadre.
Écrit le 4 septembre 2020
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Pour votre info, la visite est gratuite. Pourquoi postez-vous des informations erronées?
Rédigé le 4 juillet 2018
Bonjour,
Avez-vous bien lu mon titre "Lieu évocateur et visite gratuite !" pour cette charmante maison de Balzac ?...
Je ne comprends votre remarque désobligeante : où est-ce que j'indique que ce musée est payant ?
Cordialement.
Rédigé le 6 juillet 2018
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