Un accueil irréprochable dans un cadre exceptionnel. Nous nous sommes régalées des plats marocains concoctés par Rachid et avons apprecié le calme de l'endroit. Merci Christiane et Ali pour votre accueil chaleureux. Un bisous à Zitoune !
Ali et son équipe sont champions de l'accueil, calme et posé, très apprécié après la longue route pour rejoindre M'hamid. Ils partagent les mystères du Sahara, de la vie nomade, et portent une douce et permanente attention à tous. Un superbe séjour ! Pour ceux qui aiment aussi la poésie, voici "Prince des pistes"... A la fin du bitume, après les derniers palmiers, Au calme, il a dressé tente et maisonnées. Votre arrivée à M’Hamid ne le surprend pas, Elle était annoncée par son chat. Ali, son équipe, son site, Ont choisi un rite: Pour vous accueillir, il se fait prince ! Et en réponse à toute attente, Ils ne donneront rien de mince ! Ses vaisseaux sont rois au Sahara, De blancheur et de poussière, par les pistes en gymkhana, De lenteur et de balancement, en droma par les dunes, 4x4 et 8x8 feront de vos rêves la fortune. A Chicaga est son royaume, tout en logis de pisé, A la fois rustiques et modernisés, Pour un temps des plus reposés, Il saura magnifier encore Des dunes le fabuleux décor. Vous pourrez y festoyer, En toute simplicité, après le thé, Puis longuement y veiller, Pris dans les chants et les mélopées, Animés par les djembés, Sous un ciel de constellations le mieux orné, Chauffés au feu du camp et de leur naturelle amitié ! Homme du pays et prince des lieux, A toute interrogation, il est heureux, De raconter son chemin et son histoire, Depuis la vie nomade à celle d’un monde à revoir. Mais quand le retour à la civilisation voit le jour, On s’en sépare et le salue avec un même espoir, Celui de se retrouver, à la porte du désert, un autre jour !…
Arrivée à M’Hamid l’ancien, le temps s’arrête. La kasbah Aladin est là au bout du vieux village à l’entrée du désert, tout est couleur sable. Mon cœur se met à battre lentement. Accueillie chaleureusement par Christiane et Ali, j’entre dans cette maison à ciel ouvert ou le silence est prégnant. Tout est harmonieux dans cette kasbah, simple, lumineux et confortable. Cet endroit propice à la contemplation, à la méditation est un lieu convivial favorisant les échanges et le partage, je vais en faire l’expérience durant tout mon séjour. Chaque coucher de soleil, chaque lever de soleil est une cérémonie qu’il ne faut pas rater. Le vieux village, si proche est silencieux. Enfoui dans ces murs faits d’argile et de terre couleur sable 800 personnes vivent là. A proximité du village, nous faisons nos premiers pas dans les dunes. Nous sommes frappés par l’avancée du désert sur le village, le recul de la palmeraie et la domination de la sécheresse sur chaque élément. La vie à la Kasbah est un délice : au petit soin Ali et Christiane veillent sur notre bien-être, la nourriture est excellente, Youssef et Omar sont à la cuisine, la musique très présente remplie nos soirées. Ce séjour est une expérience unique ! il se poursuit par une sortie au bivouac des grandes dunes de CHEGAGA, (70 km de M’Hamid). Nous passerons la nuit à regarder le ciel, à recevoir une pluie d’étoiles filantes. Et quelle chance d’être là pour le festival de TARAGALTE, . Je reviendrai c’est sûr ! …
Le chat dort à l’ombre des murs de terre ocre, le petit âne Zeitoun, passe son museau par la lucarne du grand salon de plein air, des cris d’enfants et les sons étouffés des djembés parviennent jusqu’à moi. Je suis à M’Hamid, l’ancien dans une jolie palmeraie du Draa au bord du désert, chez Ali, touareg né au village et Christiane, hôtelière de profession, et plus précisément à la kasbah Alladin. Ici, tout est quiétude, comme si le désert aux portes de la kasbah nous dictait déjà sa loi. Des tapis multicolores, des coussins bien ventrus et la chaleur de l’après-midi incitent à la paresse et à la méditation. Tout est hospitalité aussi, Youssef et Omar à la cuisine préparent le tajine traditionnel avec beaucoup de légumes, on peut jeter un œil derrière leur épaule pour connaître le secret des épices qui donnent un si bon goût, les grenades au sang rouge s’égrainent dans le plat de terre coloré, fabriqué à Tamgroute, à quelques kilomètres de là par les artisans. Bientôt le repas ; on se rince les doigts, comme il se doit ici, au filet d’eau issu d’un joli récipient argenté. Les convives prennent place, Ali et Christiane vérifient que rien ne manque. Minna, toute en couleur vient du froid, de la belle ville de Besançon, Algérienne d’origine, elle a entrepris de m’apprendre quelques mots de Darija, la langue parlée ici ; Aziz, musicien professionnel est venu pour le Festival de musiques nomades de Tarragalte, qui se tient chaque année près d’ici, dans les dunes ; il nous régale de belles envolées de djembés accompagné d’Ali, de Christiane et de ceux qui ont envie de s’essayer ; Claude, adepte du yoga est prêt à redresser notre dos, et notre posture à tout moment, et hop !... Convivialité et gaieté règnent tout autour des tables. Ce matin on s’est promenés dans le ksar, le vieux village dont l’entrée se trouve juste en face de la kasbah. Difficile de s’y risquer sans guide, car c’est un véritable labyrinthe de ruelles qui s’enfonce dans l’obscurité de la terre et parfois le halo de lumière de l’extérieur ne pénètre que faiblement. Les maisons en pisé sont encore très authentiques, les terrasses de chaque maison surplombent la palmeraie et le désert ; des silhouettes se dessinent derrière les moucharabiés, des femmes chargées de fagots de palmes pour faire cuire le pain se déplacent sans bruit dans les méandres du ksar. Le muezzin appelle à la prière depuis la mosquée toute proche. Cet après-midi, nous faisons la fête avec les enfants du centre de loisirs créé par Ali et Christiane. Ils dessinent, jouent à des jeux de société, chantent, font de la musique, et font aussi leurs devoirs d’école… Chaque jour, ils attendent avec impatience l’ouverture du centre situé dans une grande maison de terre à côté de la kasbah. Les gens de passage participent volontiers aux activités, le temps d’un jeu ou d’une danse. Demain, c’est le départ pour le bivouac de Chegaga, à 70 km. Cette fois-ci on part en 4X4, vers les grandes dunes, la prochaine fois nous irons avec les dromadaires, 3 à 4 jours, selon les marcheurs. Je me réjouis de prendre la piste, de voir les troupeaux de dromadaires, les chèvres et les plantes du désert, d’écouter les récits et explications d’Ali autour du feu et aussi de regarder la voie lactée et la pluie d’étoiles filantes. Une semaine dans cet univers simple, mais non sans confort, près de gens chaleureux et soucieux de nous faire partager leur conception de la vie et leur culture permet de renouer avec le sens profond de l’existence. « Ma kain mouchkil « : ça veut dire, il n’y a pas de problèmes. Cette expression a marqué mon séjour à M’Hamid. Inch’allah.…
Nous avons effectué une méharée dans l erg Chegaga en 4x4 depuis La kasbah Aladin. Une expérience magique : pour commencer, un excellent accueil de Christiane et Ali avec un déjeuner à la kasbah, puis route vers le désert avec Youssef, qui partage à merveille ses connaissances du lieu et de la région. À l arrivée sur les dunes de sable, deux dromadaires nous ont aidé à monter au plus haut des dunes pour le coucher du soleil, avant de dîner au campement, et de s endormir sous les étoiles. Retour le le demain après des roulades dans les dunes et quelques arrêts intéressants sur le retour. Tranquillité, authenticité, gentillesse, superbe expérience en famille. Bravo à toute l équipe et merci
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